jeudi 30 novembre 2017

Le bonheur est ici !

Teste présenté lors du lancement du 26 octobre dernier. 

Le bonheur est ici !
Un peu de ma philosophie de vie.
Le bonheur est ici puisqu’il est là où je suis. Il est donc présent dans cette salle. Le sentez-vous ?
Il y a plusieurs années, en arrivant par un drôle de hasard (panne de notre camper) dans un camping sur le bord de la mer, j'ai déclaré : "Le bonheur, est ici".
Avec le temps j'ai bien compris que "le bonheur est là où je suis" puisque c'est moi et c'est nous tous qui faisons notre bonheur. Je n'ai plus besoin du bord de mer, de pays étrangers ou des nouvelles aventures pour être heureuse. J'ai pris conscience que mon bonheur est permanent et ne dépend que de moi.

Un peu de mon écriture :
J’écris depuis longtemps. J’écris des romans depuis environ cinq ans. Mes histoires sont actuelles et inspirées de gens qui m’entourent. Je lis et je tiens compte de tous les commentaires que je reçois. Ils servent à me corriger, à me relire, à m'adapter et à me motiver. Mais c'est pour les commentaires positifs que j'écrie et tant pis si je n'ai pas utilisé le bon mot ou le bon temps de verbe. L'histoire reste la même et l'important ce sont tous ces gens que se retrouvent dans la lecture de mes livres et me le disent. C'est pour eux et c'est pour moi que j'écrie. J'ai d’ailleurs un commentaire en mémoire, qui en résume plusieurs, il disait : « Célyne, j'ai au cours de ma vie lut environ cinq livres, et en une semaine j'ai lu tes deux premiers romans que j'ai adorés. Continue à écrire, merci. » Ma réponse fut : « Juste pour toi, ma belle, j’en écrirai tout plein. »
J'ai aussi compris que pour être prise au sérieux il fallait que je sois plus minutieuse donc depuis Mon père, mon meilleur ennemi, tous mes romans sont et seront corrigés par un groupe de professionnels extérieurs. C’est pour cette raison que les deux premiers ne sont plus disponibles en ligne.
Et c'est à vous que je dis merci.
Merci de me lire et surtout n'arrêtez jamais de me faire vos commentaires.
Merci de me nourrir de vos histoires et de votre vécu.
Et surtout merci d'être là.

Ma méthode d’écriture :
À mon avis : L'écriture est à porter de tous. Pour n'importe quelles formes d'apprentissage, l'exercice est la seule voie pour y arriver. Le piano, la peinture, l'anglais, la danse, la course… POUR TOUT : il faut le faire, le faire, et le refaire continuellement. L'Écriture suit le même courant ! Il faut écrire, écrire, écrire, relire, et réécrire.
Les deux autres qualités de l'écriture, presque opposées, sont la solitude et l'écoute. C'est en amenant les conversations vers des confidences que vos interlocuteurs vous dévoilent leur vécu, leurs malheurs, leurs bonheurs et leurs secrets. Leurs histoires se révèlent à vous.
Brasser le tout : exercices, solitude, écoute, ajoutez-y de l'imagination et hop ! Le tour est joué. Des fois c'est bon, des fois… Pas du tout. Ce n'est pas important, ce qui l’est c'est de créer.
Et quand mes premiers lecteurs m'ont dit que mes histoires valaient vraiment la peine d'être lu, il m'est venu le désir de publier. « Pourquoi pas moi, me suis-je dit. »
Avec l'édition plusieurs difficultés sont apparues : La mise en page, la page titre, la correction (tout ce qu’on doit retenir, police, espace insécable avant le point d’interrogation, pas d’espace à la fin d’un paragraphe…) et quand est-ce que l’histoire est terminée ?

C'est à ce moment-là que j'ai recherché une maison d'édition et j'ai envoyé Mon père, mon meilleur ennemi à douze éditeurs, huit Québécois, trois Français et un international. J'ai reçu douze refus et pourtant je gardais en mémoire des réflexions de mes premières lectrices : « Tes livres sont meilleurs que tous ceux que j'ai lus. » J'ai donc continué mes recherches vers l'autoédition.
Pourquoi Amazon ? Parce que, selon tout ce que j'ai lu sur le sujet, ce sont les plus "à jour" dans le secteur présentement. Ils ont une plate-forme assez stable pour la mise en page. Le service de mise en marché est entièrement gratuit. Ils sont présents dans tous les pays. Ils impriment les livres papier à la demande, pas de gaspillage de papier et d'argent, vous en vendez cent ils vous en impriment cent. Vous établissez vous-même le prix de vente et le montant de vos redevances. Tous les autres sites n'offraient pas tous ces services et souvent ils ne sont présents qu'en France.
Un de leur défaut, s'il en est un c'est une compagnie américaine (je n'en dirais pas plus) et l'autre difficulté, ils sont assez exclusifs. Ils ont leur propre plate-forme de lecture électronique. La lecture ne peut se faire que sur leur liseuse Kindle ou sur un IPad. Au niveau du marketing et de la vente c'est presque exclusivement en anglais et en ligne seulement. Mon public cible est français donc mes ventes passent souvent par Facebook, les médias sociaux, les blogs, mon site. Et pour rester présent, il faut constamment tout mettre à jour. De plus, pour les gens qui n’aiment pas acheter en ligne, j'offre le service de les commander et lorsqu'ils me sont livrés, je les distribue.

Bref, on ne peut pas être expert en tout. Et le problème avec l'autoédition c'est qu'il faut tout faire soi-même surtout, si on veut augmenter ses ventes. "Et j’aime mieux écrire que vendre…" alors…
Heureusement j'ai beaucoup de gens qui m'ont appuyé, vous tous, bien sûr, mais aussi Sylvie Robert, amie et graphiste, ma mère, ma famille, mes amis et mon chum : mon meilleur allié.
Je rêve probablement comme tous les auteurs que le travail de distribution, correction, mise en page, comptabilité se fassent… Tout seul ! Que je n'aurai qu'à écrire.


J'ai envoyé un courriel à Alexandre Taillefer au sujet d'un Amazon québécois mais ça, c'est une autre histoire.

mercredi 1 novembre 2017

Une autre leçon de Bloculus !


Sur les chemins de pèlerinages boudhistes du Japon, vous pouvez croiser de curieux visiteurs venus du monde entier, le bâton à grelots du pèlerin à la main, le sourire aux lèvres. Quasiment aucune possession mais heureux et libres comme l’air : voici les bienfaits du minimalisme japonais !
Avons-nous besoin de posséder des choses pour être heureux ? L’empire de la publicité cherche tous les jours à nous convaincre que oui. Le courant minimaliste japonais propose pour sa part une autre vision : celle de jeter/donner toutes les possessions superflues de nos vies. Pour cela, une simple question : « Cet objet m’apporte-t-il de la joie ? » Si la réponse est non, l’objet peut être jeté. Vous savez maintenant pourquoi les japonais n’ont ni chaises ni lit, mais un simple futon à même le tatami !
2e effet kisscool : en libérant ainsi nos étagères et tiroirs, nous libérons également notre esprit en le détachant du matériel et en lui apprenant à choisir ce qui est important et positif pour nous. Une belle leçon, pas toujours facile dans la pratique (« On sait jamais, ca peut toujours servir »), mais étrangement satisfaisante ! À éprouver avec nos possessions… mais aussi nos relations, habitudes et autres notifications !
•••
Une accumulation tente désespérément de combler un manque… qui ne saurait être assouvi matériellement (d’où l’accumulation) !
Se libérer de toutes les choses qui ne nous apportent pas de joie, c’est s’offrir une introspection profonde pour être plus heureux au quotidien.
Citez un objet simple et superflu qui ne vous apporte pas de joie.
Comment pourriez-vous vous en séparer ?
Quand le ferez-vous ?
(Difficile de répondre ? Bienvenu dans votre introspection…)

http://bloculus.com/minimalisme-japonais-chemin-de-liberte/ 

mardi 24 octobre 2017

Créer son rituel Maiko



Je suis tous les textes de Bloculus. Ils sont intelligents et véridiques. Celui-ci nous porte à réflexion. Je vous donne le lien: http://bloculus.com/creer-son-rituel-de-maiko/ et le recopie. Bonne lecture chère, cher Maiko.


Avant d’atteindre la position de Geisha, les Maiko (aspirantes au titre) s’entraînent quotidiennement et avec ferveur aux arts traditionnels japonais. Danse, peinture, chant, art floral et cérémonie du thé deviennent rituels et sont répétés inlassablement jusqu’à atteindre la forme la plus parfaite possible… Et ce sur une demi-douzaine d’années !
Un (r)appel à la patience qui tranche avec notre culture qui pousse à toujours plus de rapidité et d’instantanéité.
Scène de quotidien
Après une journée de course contre la montre, tâchant de réconcilier rapidité d’action et exhaustivité de traitement, nous sortons enfin du travail.
Les publicités des transports nous inondent de mannequins souriants et minces qui promettent d’obtenir le même corps qu’eux en quelques mois à la salle de sport. Il faudra penser à s’y remettre un jour, quand nous aurons le temps
Dernier verre avec des amis. Nous rentrons tard et fatigué chez nous. Le repas léger et équilibré du soir sera pour une autre fois. La nuit de sommeil de 8h également vu l’horaire… Vivement le week-end !
A-t-on le choix de changer ? Transformer tout le système dans lequel nous vivons, certainement pas. Mais notre propre manière de fonctionner vis-à-vis de ce système, oui ! Oui si nous acceptons de prendre une place de Maiko dans la discipline qui nous tient le plus à cœur. Oui en acceptant que l’entraînement sera aussi long que ces années qui ont mis en place ces habitudes néfastes…
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Nul objectif ambitieux n’est inatteignable ! La clé est dans le rituel que vous vous fixez ainsi que le temps que vous acceptez d’investir pour y travailler.
Quel « geste » vous plairait-il de travailler ? Jusqu’à quel état de satisfaction personnelle ?
Quel rituel – le plus simple possible – pourriez-vous mettre en place pour cheminer vers cette destination ?

jeudi 19 octobre 2017

Solitude et écriture



Je lis régulièrement les articles publiés par Marie-Andrienne Carrara du site À propos d'écriture. Nous seulement, il recèle beaucoup d'idées géniales mais ils m'apportent la réponse à plusieurs questions courantes de l'édition.

Un de ses articles porte sur la citation de l'écrivaine Véronique Olmi :
"Je ne pourrai pas vivre sans écrire. L'écriture entraîne une solitude qui m'est nécessaire. Et des compagnonnages extraordinaires avec les personnages"

Souvent lorsque je me sens agacée, fébrile et que tout m'agace, même les gens et que rien ne suggère cet état d'âme. J'ai trouvé dans l'article de Marie-Adrienne plusieurs réponses/commentaires qui m'indiquent que je dois combler ce besoin d'écriture et comment le combler sans procrastiner.


Comme elle le mentionne à chacune de ses publications : À vos succès d'écriture.




dimanche 1 octobre 2017


Dès 19 heures, le 26 octobre prochain, aura lieu le lancement de mon troisième livre : Mon père, mon meilleur ennemi à la bibliothèque Ginette-Rivard-Tremblay de Lanoraie, située au 12 rue Louis-Joseph-Doucet, Lanoraie.

Inspirées d'une histoire vraie, les scènes de ce roman se déroulent principalement dans les villes de Sept-Îles et Québec et s'achèvent en France, dans la région de Bordeaux. Vincent, l'aîné d'une famille de trois garçons, apprend que l'homme qui l'a élevé et battu toute sa vie, n'est pas son père.
Tout le monde peut devenir auteur et être publié. Aussi, l'auteure répondra à toutes les questions sur son expérience concernant l'édition et la publication avec le géant Amazon.

La page couverture a été réalisée par Sylvie Robert, graphiste.

dimanche 24 septembre 2017

Moi, moi, moi ! De David Laroche



Si vous êtes comme MOI et que vous êtes épuisé d'entendre vos proches, vos amis, vous dirent que "Eux, ce n'est pas pareil. Que eux, ils souffrent. Que eux, ils ont perdu leur emploi!"

Eh bien, ce petit vidéo vous fera surement un très grand bien !

Merci David

dimanche 17 septembre 2017

La planète est petite



Selon Austin Kleon, nous devrions passer plus d'une heure par jour sur les réseaux sociaux puisque c'est là que se trouvent nos nouveaux amis, nos idoles et même nos voisins.

Nous avons besoin de nous entourer de personne qui nous ressemble ou à qui nous voulons ressembler. Aujourd'hui, il est plus facile de trouver nos idoles et de suivre leur parcours grâce surtout à Internet. Un vieux dicton dit : Écrivez le livre que vous aimeriez lire. J'ajoute : vivez la vie que vous aimeriez vivre et si c'est celle d'un grand artiste peintre ou d'un scénariste, recherchez sur Web tout ce qui se rapporte à ce métier ou à cette personne et imprégnez-vous de cette vie et de cette aura pour en faire les vôtres.

David Laroche nous dit : Arrêtez de parler de vous et parler de ceux qui vous inspirent. Pierre Morency et bien d'autres nous suggèrent de nous projeter dans 5 ans, 10 ans pour savoir qu'est-ce que nous voulons devenir et comment nous y rendre et passez à l'action! Que dois-je étudier si je veux être pilote d'avion ? Quelles attitudes, quels comportements dois-je adopter ? Qui dois-je côtoyer ? Qui peut m'aider, m'enligner, me seconder ?


Certains diront : Il est trop tard. Je suis trop vieux… Ils seront déjà en retard des années qu'ils auront attendu avant de débuter.