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Photo de Marie-Lise Pilote dans le rôle de "La méchante" |
C’est un peu comme la jalouserie! Mais pourquoi être méchant? Pour plus de pouvoir? Plus de reconnaissance? Qu’on m’aime ou qu’on m’haïsse au moins on sait que j’existe! C’est peut-être une forme de survie! Ils existent probablement plusieurs formes de méchanceté et les gens méchants ne savent, souvent, pas qu’ils le sont.
Peu importe, moi je me suis signée un pacte avec moi-même pour éviter toutes les personnes méchantes, même les personnes qui ne savent pas quelles le sont. C’est fini! C’est même triste, mais c’est ainsi!
C’est triste parce que ces gens sont de ta famille où ce sont des amis intimes de très longues dates. Au début, lorsque je me séparais de cette sorte de personne, je ne savais pas pourquoi. J’étais mal à l’aise en leur présence… je sentais que tout était « faux », leur sourire, leur façon de parler, de t’amadouer. Et plus tard même si tu ne réalises pas l’ampleur de leur jeu, de leur hypocrisie, c’est fini. That’s it! Y'a comme un déclic, un "feeling"!
Mon grand ami André, m’a, à travers ce blog, donné un bon truc lorsqu’il vit des situations semblables : il projette sur la ou les personnes un « aura de bien-être et d’amour », un « aura de Dalaï Lama ». Des fois ça marche, des fois ça marche pas mais peu importe, ma sagesse (ou mon âge) ou mon expérience fait en sorte que, maintenant, je réussi à demeurer zen et à me détacher totalement de ces situations (je deviens muette, je m'exclu). Comme je n’ai plus de temps à perdre, j’ai le sentiment que mon flair reconnait immédiatement ces personnes, ces situations.
J’ai fait de mon présent et de mon futur : amour, amitié, partage de bons moments… et j’ai banni la haine, la jalousie, la méchanceté sous toutes ces formes… « too bad for you!»
Bonjour Célyne,
RépondreSupprimerComme chaque dimanche, j'attends avec impatience ton blog de la semaine.
Quel beau sujet! Connaîs-tu le livre : les gens du mensonge de Scott Peck? Oui, la méchanceté existe. Le mal ou la méchanceté. Je connais des gens qui carburent à la méchanceté. Dès que tout va bien, ils ont un malaise.Ils font tout pour que ça tourne au vinaigre.
L'an dernier, au travail, j'ai croisé 2 personnes absolument méchantes. La plupart du temps, ces gens sont aussi menteurs. Ça fait partie du tout. On appelle ça entre autre, de perversion narcissique. Ils vont même tenter de t'apprivoiser et/ou te séduire. Attention! Danger!
Je l'avoue, j'ai peur de la méchanceté. C'est un comportement imprévisible. Mais on les sent ces gens!
Comme tu dis, fuyons ces êtres laids, car ils deviennent laids physiquement. C'est un avertissement. Un signe.
Bonne journée chère Célyne! Plus je te découvre, plus je te trouve belle!
Josée x
Je suis étonnée que le sujet soit aussi d'actualité. Plusieurs personnes se nourissent de méchanceté pour vivre ou pour survivre? Comme tu dis, lorsqu'ils n'ont pas une méchanceté en pensée, ils dépriment, ils cessent d'être alimentés de négatif... Bizarre le monde et sans compter sur les manipulateurs... ça aussi c'est une tarre. Il faut rester vigilant.
RépondreSupprimerMerci Josée pour tes commentaires, ils me font réfléchir et grandir
C'est trop d'hommages, chère amie! Ce « Dalaï-lama, rentre dans ce corps! » que je me répète intérieurement lorsque j'ai la vague impression de manquer de compassion à l'égard de mes semblables - et mes dissemblables - m'a été inspiré par ton billet du 31 décembre 2010 (Résolution versus souhait). Je n'aurais pas assez des doigts de tous mes amis pour compter le nombre de fois où j'ai fait entrer le Dalaï-lama en moi depuis le début de l'année. Je réalise ainsi à quel point je pouvais juger - et je juge encore - les autres. Je ne sais s'il s'agit de méchanceté, de « jalouserie » ou d'envie, mais chose certaine, je me sens plus léger chaque fois que j'accueille le Dalaï-lama.
RépondreSupprimerComme le ciseau du sculpteur, le mantra fait son oeuvre. Je sculpte ainsi, un éclat à la fois, mon âme « brute » pour révéler l'immatérialité de ma lumière. Cette oeuvre, comme mon Chemin de Compostelle, je ne l'achèverai jamais, car comme je l'ai écrit dans un de mes haïkus: « Le but est-il / d'arriver / ou d'avancer? »
Tes billets m'inspirent. Ta détermination me stimule.
Merci, Célyne!