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Image provenant du site: mindlaunch.net |
C'est pire que la haine! Avec la haine s'en suit des
émotions, des malaises, des colères. Avec l'indifférence, il n'y a plus rien,
plus de sentiments, plus de haine, plus d'amour, plus rien. C'est bête et
plate! Et c'est sûrement une très belle façon de me protéger contre le
comportement de gens qui nous affligent.
Attention!
Je ne parle pas d'indifférence comme en parle Stéphane Laporte dans son
excellent article sur CyberPresse, "De faim et d'indifférence":http://www.cyberpresse.ca/international/dossiers/famine-dans-la-corne-de-lafrique/201107/30/01-4422267-de-faim-et-dindifference.php.
Je parle d'indifférence au niveau de MES relations
interpersonnelles. Sans psychanalyser, ce comportement est toujours à l'origine
d'une très grande déception. Je ne souhaite à personne de mon entourage de
créer ce comportement d'indifférence de ma part. Bien sûr, je suis diplomate,
j'ai été bien élevé: "Nice to meet you", mais c'est tout. Dommage
pour moi et pour les autres.
Ça
prend du temps, c'est pas évident, c'est difficile, mais c'est la seule façon
que j'ai trouvé pour me protéger et après ... c'est comme une libération.
Ton blog m'a atteint comme tu vois. Tu as mis le doigt sur un bobo qui touche des tas de gens. Je crois être un spécimen très touché par le bobo. Je dois apprendre à me détacher de ces choses et de ces gens qui me dérangent et à qui j'accorde trop d'importance pour rien.
RépondreSupprimerJe me suis procurée le livre : Pensouillard le hamster. Ça va me faire du bien. Alors, je me mets au travail pour me détacher de tout ça. Mis à part le hamster qui tourne encore plus vite dans ma tête, ça ne rapporte absolument rien à part les jongleries inutiles.
Merci Célyne d'avoir eu la brillante idée de parler d'indifférence. On pourrait dire aussi détachement des irritants.
Josée
Je t’adore!
RépondreSupprimerJ’aime susciter des réactions. Mon blog reflète des émotions que je vis au jour le jour. C’est pour moi un exutoire et de l’écrire me fait du bien et j’espère peu faire du bien à d’autres. Je ne suis pas plus fine pour autant. J’ai encore de la difficulté à couper les ponts. Comme je l’écris « Ça prend du temps, c'est pas évident, c'est difficile, mais c'est la seule façon que j'ai trouvé pour me protéger et après ... c'est comme une libération. »
Et t’as raison, on pourrait dire : détachement des irritants et comme toi, je me suis procurée plusieurs livres mais ma résilience provient que de moi, c'est-à-dire que j’ai beau lire, il faut que je digère, dans ma tête, et ensuite dans mon corps pour me détacher (c’est pas facile).
Un jour je réussirai à méditer sur autre chose que sur mes irritants…
Passes une excellente journée
Célyne